Bon, j'étais partie pour citer Coeur de Pirate en titre d'article, parce qu'en ce moment elle m'énerve tout particulièrement. C'est vrai quoi, on l'entend partout, et je pense que dans la longue liste des chanteurs nazes que nous a déjà envoyé le Québec, elle détiend une place au sommet. Mais bon, après, je me suis souvenue qu'elle avait chanté un duo avec Julien Doré - comme quoi, les grands esprits se rencontrent. Et ce duo, c'était Umbrella, de Rihyanna *vérification d'orthographe en cours, brrrr* RIHANNA, alors voilà, je cite cette chanson. On n'est jamais trop désespéré, et puis après tout, c'est une bonne punition pour moi-même qui ai, je l'avoue, lâchement abandonné ce blog, jusqu'alors à l'aube de son succès, et qui a ensuite chuté dans la plus haute décadence.
Bref, tout ce petit laïus pour préciser qu'il en va de mon devoir de réhabiliter ce blog, car c'est à peu près tout ce qu'il me reste comme lieu pour écrire et [faire semblant de] réfléchir, et ce serait dommage de le laisser tomber comme ça, le pauvre, après tout ce qu'il a fait pour moi. Et aussi parce que mes fidèles lecteurs (au nombre de 2, bientôt 3, mais je ne vise pas la quantité moi, monsieur, mais la QUALITE *s'étouffe*) finissent par m'engueuler - si si - et que je ne voudrais pas me faire plus d'ennemis que je n'en ai à l'heure actuelle. Et aussi, mon homonyme, qui déjà s'apelle Marine, preuve irréfutable de sa valeur, et est aussi de descendance mafieuse - et donc potentiellement dangereuse - est partie à l'autre bout de la planète en me demandant de continuer à divulguer des informations ici-même, alors moi, merde, j'obéis.
Voilà voilà, je jure solennelement - en même temps on est sur mon blog, c'est pas comme si je risquais ma vie, ou que je mettais ma main au feu, ou à couper, enfin bon que je mettais en péril une quelconque partie de mon corps, quoi - n'empêche que je jure solennelement ici-même de :
1) supprimer la pub présente
2) refaire une tentative de design qui ne soit pas composé UNIQUEMENT de noir et de gris
3) ré-écrire des articles
d'ici... à demain, ou le jour d'après, parce que demain je vais changer mon portable, ce qui veut dire m'aventurer en automobile au milieu de la cité spinalienne. Soyez indulgents, siouplé.
Comme à cet instant et à cette ligne j'ai épuisé tout ce qu'il me restait en "Bon", "Bref", "Voilà" pour débuter mes paragraphes, et que je me vois mal, à 02h39, aller chercher sur des sites de français une quelconque coordination - ou bref je sais plus comment ça s'appelle - supplémentaire, je suis bien obligée de conclure. Je vous laisse donc sur ces belles paroles, et vous souhaite "Good night, and good luck".
Bref, tout ce petit laïus pour préciser qu'il en va de mon devoir de réhabiliter ce blog, car c'est à peu près tout ce qu'il me reste comme lieu pour écrire et [faire semblant de] réfléchir, et ce serait dommage de le laisser tomber comme ça, le pauvre, après tout ce qu'il a fait pour moi. Et aussi parce que mes fidèles lecteurs (au nombre de 2, bientôt 3, mais je ne vise pas la quantité moi, monsieur, mais la QUALITE *s'étouffe*) finissent par m'engueuler - si si - et que je ne voudrais pas me faire plus d'ennemis que je n'en ai à l'heure actuelle. Et aussi, mon homonyme, qui déjà s'apelle Marine, preuve irréfutable de sa valeur, et est aussi de descendance mafieuse - et donc potentiellement dangereuse - est partie à l'autre bout de la planète en me demandant de continuer à divulguer des informations ici-même, alors moi, merde, j'obéis.
Voilà voilà, je jure solennelement - en même temps on est sur mon blog, c'est pas comme si je risquais ma vie, ou que je mettais ma main au feu, ou à couper, enfin bon que je mettais en péril une quelconque partie de mon corps, quoi - n'empêche que je jure solennelement ici-même de :
1) supprimer la pub présente
2) refaire une tentative de design qui ne soit pas composé UNIQUEMENT de noir et de gris
3) ré-écrire des articles
d'ici... à demain, ou le jour d'après, parce que demain je vais changer mon portable, ce qui veut dire m'aventurer en automobile au milieu de la cité spinalienne. Soyez indulgents, siouplé.
Comme à cet instant et à cette ligne j'ai épuisé tout ce qu'il me restait en "Bon", "Bref", "Voilà" pour débuter mes paragraphes, et que je me vois mal, à 02h39, aller chercher sur des sites de français une quelconque coordination - ou bref je sais plus comment ça s'appelle - supplémentaire, je suis bien obligée de conclure. Je vous laisse donc sur ces belles paroles, et vous souhaite "Good night, and good luck".
PPS (petit post-scriptum) : je crois que vous détenez ici la preuve que non
seulement ma maîtrise de l'anglais est impressionnante de
justesse, mais qu'en plus, je devrais gagner un prix pour ma
capacité à détenir des informations ineptes à propos de prétendus
artistes en voie de devenir ou, et là c'est pas de chance, ayant déjà
atteint le stade critique du succès populaire.
PPS 2 : l'illustration de l'article n'a rien à voir,
mais bon j'aime bien cette photo, et puis comme ce cher Sammy Decoster
est sympa, sexy, qu'il m'a fait la bise et que son contrebassiste (Matthieu !),
en plus d'être contrebassiste, s'est souvenu de mon prénom la seconde fois
qu'on s'est vus (c'était la dernière, ben ouais, je traîne pas dans les HAUTES sphères
de la musique Barclay moi !), je trouve que ca fait suffisamment de bonnes
et drôles raisons pour ne pas trouver de justification valable à sa présence.
God save my unconsciousness.
seulement ma maîtrise de l'anglais est impressionnante de
justesse, mais qu'en plus, je devrais gagner un prix pour ma
capacité à détenir des informations ineptes à propos de prétendus
artistes en voie de devenir ou, et là c'est pas de chance, ayant déjà
atteint le stade critique du succès populaire.
PPS 2 : l'illustration de l'article n'a rien à voir,
mais bon j'aime bien cette photo, et puis comme ce cher Sammy Decoster
est sympa, sexy, qu'il m'a fait la bise et que son contrebassiste (Matthieu !),
en plus d'être contrebassiste, s'est souvenu de mon prénom la seconde fois
qu'on s'est vus (c'était la dernière, ben ouais, je traîne pas dans les HAUTES sphères
de la musique Barclay moi !), je trouve que ca fait suffisamment de bonnes
et drôles raisons pour ne pas trouver de justification valable à sa présence.
God save my unconsciousness.
